Aujourd'hui, plus que d'habitude, café réconfort, après une courte nuit.
Hier, super concert, dépaysant à souhait. Comme un voyage.
Ce matin, je suis arrivée au boulot les cheveux mouillés et les yeux gonflés. La classe.

Hier, drôle de coup du sort. Alors que je roulais sur un boulevard, un container s'est renversé sur la route, à quelques mètres de moi. Quelques mètres. Le temps de freiner doucement pour éviter l'accident à cette heure où les voitures commencent à affluer.
Elle a été poussée par une bourrasque de vent. A quelques secondes près, c'était sur ma voiture. Quelques secondes.
Comme le café du matin, qui bien que renversé sur mon bureau dérangé, n'a pas fait de dégats visibles.

De petits signes, pour apprécier d'éviter des petites catastrophes...

Clavier sauvé !

Aujourd'hui, café renversé !

J'aurais dû faire une photo des dégâts, mais franchement, ce n'était pas ma priorité.

J'ai sauvé le clavier, apparemment.

La plupart des papiers qui traînaient (il faut bien le dire) sur le bureau, n'ont pas eu la chance d'être épargnés...

Tant pis.

Je ne m'énerve pas. Ca ne sert à rien. Je vais juste ranger le bureau et aller m'en faire un autre.

Le café d'hier était gourmand, avec une mini crème brûlée, une délicieuse truffe maison et une crème au coulis de caramel... Il était surtout pris avec Soeurette. Le rendez-vous du lundi midi devrait être une institution...

Le café de l'après-midi sera sûrement pris dans un endroit inconnu, avec l'Amie. Ce soir, c'est concert. Cet après-midi, balade et shopping (sûrement, sagement) mais c'est surtout du temps pour moi. Indispensable !

Le festin

Aujourd'hui, café n°1 était accompagné d'un festin.
Un petit déj de rois, autour de la grande table, avec les amis.
Les visages encore un peu endormis, la faute aux excès de vin et de Bailey's hier soir et une Ponette en pleine forme, elle...
Café n°2 vite avalé. C'est vendredi, il faut boucler un max de choses, pour un week-end serein. Qui plus est avec un férié un peu contrefait, puisqu'il tombe un samedi...
Cafés n°3, 4... 5 ? Je pense à vous déjà...

Le fou du jour

Aujourd'hui, café au soleil.

Avec une vitre entre nous quand même...

Echanges autour d'un dossier, d'un projet, dont l'initiateur m'a appelée ce matin.

Piquée au vif, poussée à bout - il ne fallait certes pas grand chose - je lui avais raccroché au nez. La colère passée, j'ai redouté les retombées. Finalement non. L'homme en question est timbré. Un homme pour la première fois. J'ai déjà eu face à moi celle qui m'a montré ses seins, en me criant que j'étais raciste et jalouse. Ou celle qui s'indignait de tout, passant d'un discours extrême à l'autre...

Retour dans le bureau. Et des envies d'échappées belles.

De l'air, de la verdure. De l'eau, du silence.

Les baskets de Ponette

Aujourd'hui, café express.
Ponette a oublié ses baskets. Ce qui entame de 40 minutes la pause déjeuner.
Pas assez pour remettre en cause la pause café.
Ponette et ses baskets... La contrainte de la route et des bouchons à cette heure est vite compensée par cette sensation de plaisir d'avoir une enfant insouciante.
Les cris de ses copines dans la cour en ébullition quelques minutes avant l'heure fatidique du retour en classe, pour annoncer ma présence.
La surprise mêlée de reconnaissance, pour cette maman qui la sort d'un mauvais pas. Elle aurait été exclue du groupe...
Le coup d'oeil dans le sac, le signe à travers la barrière et la vie continue.
Puis le café au bar du bar déserté. Le soleil a drainé le monde en terrasse.
Vite avalé. Mais avec des saveurs qui se prolongent jusqu'au retour au travail.
Il en faudra un autre, plus posé pour apprécier la coupure du temps suspendu.

A la une

Aujourd'hui, café au bar.
Deux même.Servis par une nouvelle barmaid en mini-jupe. Pas vraiment jolie. Pas moche non plus.

Le premier avalé seule, en surfant grâce au 3G sur des infos. La Veuve Noire arrêtée en Isère… Titre enigmatique qui attise ma curiosité. Une “affaire” que j'ai envie de suivre. L'histoire d'un corps calciné retrouvé dans une voiture à quelques centaines de mètres du domicile conjugal, il y a dix-huit mois. La compagne dont le nom est déjà cité dans de précédents dossiers. La compagne dont “Plusieurs hommes l'ayant côtoyée dans les années 80 ont fait des intoxications médicamenteuses. L'un d'eux a même péri dans un incendie“, raconte le Dauphiné Libéré.

Le second avalé avec mon amie, en se racontant les derniers petits bonheurs, petits tracas.
Et puis retour au bureau. Lancement de Jiwa et de tout ce que le site possède comme titres de Miossec.